Oui, Richard, c’est un gros travail. D’autant plus que j’avais fait une première présentation en insérant les toiles avant chaque poème. C’était bien, mais je trouvais que les tableaux à l’écran étaient trop petits, peu mis en valeur. J’ai tout recommencé en mettant les toiles sur la page de gauche, grand format. Et, tu as raison, le résultat ne me satisfait pas du fait que les toiles ne sont pas toujours face aux vers.
Alors je vais reprendre le recueil, car c’est à moi, et non à Calaméo, de laisser les pages blanches au bon endroit en préparant le texte. Il faut calculer l’endroit où insérer ces pages blanches.
Je le refais ce matin pour que la lecture soit meilleure. De toute façon, je suis assez content de la vision des tableaux qui est plutôt bonne et de la grosseur des mots du texte qui doivent être suffisamment gros pour une lecture facile, même si on peut les zoomer dans Calaméo. Pour moi, la lisibilité de l’ensemble est essentielle pour accompagner les magnifiques vers du poète.
Je reprends le recueil.

Merci pour votre appréciation concernant mes pages sur la peinture et la poésie qui atteint des sommet avec celle de Baudelaire.
J'aime bien votre peinture d'une grande finesse qui nous fait découvrir cette Bretagne si belle.
L'art ne peut s'exprimer sans passion. Les beaux jours qui arrivent vont certainement vous permettre de nouvelles créations.
Belle journée.

Merci, Emma, pour ton appréciation et les conseils de la grande utilisatrice de Calaméo que tu es.
Cette plateforme est d’une grande souplesse pour la préparation et la présentation de livres de bonne qualité visuelle, aussi bien pour les textes que pour les illustrations. En ce qui me concerne, c’est parfait.
Je sais que l’on peut mettre de la musique. Je ferai un essai pour voir.
Le seul inconvénient est, à mes yeux, l’obligation d’utiliser de fortes tailles de polices de caractères afin que les textes soient lisibles à l’écran. Je ne sais pas quelle police tu utilises mais je trouve dans tes publications que tes lignes présentent une bien meilleure visibilité que les miennes. Même si l’on peut zoomer, il va falloir que je reprenne certains de mes recueils qui ne me paraissent pas suffisamment lisibles.
J’espère que tu m’excuseras, Emma, j’ai trouvé excellent le recueil « L’envol » que tu m’as joint. Je me permets d’ajouter un lien tout en bas de ma note sur Baudelaire. Je pense qu’il aurait apprécié tes textes.

Dans « Le musée retrouvé », il s’agit d’une comparaison des poèmes avec les toiles que Baudelaire a commentées comme critique d’art. En ce qui me concerne, il s’agit de mes poèmes coup de cœur du poète que j’ai associé avec divers tableaux qui, avec mon goût personnel, correspondaient le mieux au thème évoqué. Mais j’aurais tout aussi bien pu prendre d’autres toiles. Je voulais surtout montrer à nouveau des textes de cet immense écrivain et le remercier pour ce qu’il nous a donné.
Belle journée Carole.

J’espère que tu as apprécié cette présentation qui finalement, avec un peu de temps, est facile à réaliser dans Calaméo. Pour le son, je verrai plus tard.
Tu aurais pu me dire quel poème tu préférais dans Les Fleurs du Mal. Cela m’intéresse. J’ai signalé mon préféré : A une passante.
Belle journée à toi.

J’ai pris un double plaisir en faisant ce recueil : me repaitre des vers de ce grand poète et chercher les tableaux les meilleurs pour chaque poème.
Une vraie jouissance…
J’espère que Baudelaire t’a inspiré. Je comprends pourquoi avec un talent pareil il ait eu du mal à être reconnu de son temps. Le chroniqueur du Figaro Gustave Bourdin parle de « monstruosités » en lisant les « Femmes damnées ». Quelle pudeur ! Je me demande s’il dirait encore la même chose aujourd’hui ?
Belle journée Fan. Nous avons le soleil au Nord, comme c’est bon.

J’avais déjà lu Les Fleurs du Mal autrefois sans apprécier totalement le charme et la qualité de ces vers. Il faut peut-être du temps pour ressentir la force de cette longue suite de poèmes.
Aujourd’hui, c’est fait.

Les thèmes baudelairiens se marient fort bien avec la peinture. Je ne pouvais passer à côté de cette occasion unique de donner une couleur à cette poésie qui nous emporte si on prend le temps de s’immerger dans ces lignes.
On en sort grandi. L’art nous mène bien loin lorsque l’on se laisse saisir. Ce n’est pas à vous que je l’apprendrais, Cendrine.
Belle journée. Profitez du soleil, source de vie.